mardi 28 juin 2016

Se former pour conseiller : Un métier qui s’apprend tous les jours

Aujourd’hui, peu de jeunes conseillers agricoles ont un niveau BTS. Les entreprises agricoles leur demandent une plus grande polyvalence. 

Du commerce à la négociation, un conseiller ne se contente plus d’être seulement un technicien. Difficile de sortir d’un BTS agricole, être un bon technicien et avoir des compétences en animation, en négociation ou encore en commerce. 
Or, les profils à double compétence sont de plus en plus recherchés par les entreprises agricoles. Les jeunes qui souhaitent y travailler n’hésitent donc plus à continuer après un bac + 2. « Les postes demandent de plus en plus de compétences, et pas seulement techniques, mais également de synthèse et d’analyse. Les employeurs se tournent donc vers des personnes qui ont un plus grand spectre de compétences », appuie Laurence Stey, déléguée Apecita, l’agence pour l’emploi en agriculture et en agroalimentaire.

Comment devenir Conseiller agricole ?

lundi 27 juin 2016

Job dating de l’Apecita : Le Space, tremplin pour l’emploi

Après le succès de l’édition 2015, l’Apecita Bretagne va reconduire l’opération de jobdating durant le Space 2016 du 13 au 16 septembre. Ces rencontres d’une dizaine de minutes consistent à établir un premier contact entre un recruteur et un candidat en recherche d’emploi.

Retour sur cette opération avec Annie Jestin, déléguée régionale Bretagne.

dimanche 26 juin 2016

Gilles Albertos, directeur marketing chez Sumi Agro France « Je veux partager mon expérience de la distribution »

Après s’être investi près de vingt ans chez le groupe Perret, Gilles Albertos a choisi de changer de cap. Au-delà de sa volonté de travailler plus en amont de la filière, il souhaite apporter son expérience à une entreprise ambitieuse.

Découvrez son parcours

samedi 25 juin 2016

Enseignement agricole : Mieux faire connaître la coopération

Afin de renforcer le partenariat entre les coopératives et les établissements d’enseignement agricole, Coop de France Alpes Méditerranée et la Draaf ont signé une convention de partenariat qui se décline en trois volets : les stages et les contrats d’apprentissage dans les coopératives, des interventions d’experts dans les établissements et des outils pédagogiques.

Le 27 avril dernier, Coop de France Alpes Méditerranée, la fédération régionale des coopératives agricoles de la région Paca, et la direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt (Draaf) s’étaient donné rendez-vous, à la maison familiale et rurale de Lambesc (13), pour signer une convention afin de renforcer le partenariat entre les coopératives et les établissements d’enseignement agricole.

Quelle formation pour la coopération ?

Groupe Dauphinoise, Isère : Une nouvelle équipe dirigeante pour 2016

Nouveau directeur depuis le 22 décembre 2015, nouveau président depuis le 25 janvier : la coopérative Dauphinoise aborde 2016 avec une équipe dirigeante renouvelée. Le groupe coopératif agricole, qui rayonne sur l’Isère et ses départements limitrophes, emploie 1 337 salariés.

Après 20 années de présidence du groupe Dauphinoise, Roland Primat a passé le flambeau début janvier 2016 à Jean-Yves Colomb. Âgé de 48 ans et installé en EARL dans le nord de l’Isère, Jean-Yves Colomb a été administrateur, puis vice-président de la coopérative. Il pourra compter sur un nouveau directeur général : Georges Boixo. Arrivé en 2012 comme secrétaire général à la coopérative, il a dirigé la filière oeufs du groupe et la filière biomasse en 2015.

Découvrez le Groupe Dauphinois

vendredi 24 juin 2016

Jobdating : Sommet de l’élevage 20 minutes pour séduire

La délégation Apecita Auvergne met chaque année en place un jobdating dans le cadre du Sommet de l’élevage. 

La formule, plus courte, plus directe qu’un entretien classique apprend à aller à l’essentiel. Chaque année, la délégation Apecita Auvergne met en place un jobdating dans le cadre du Sommet de l’élevage. Ce Salon dédié à l’élevage se tient tous les ans au mois d’octobre à Cournon, en Auvergne. L’exercice du jobdating permet de réaliser plusieurs entretiens en un minimum de temps, mais se prépare néanmoins un peu à l’avance. Explications avec Nathalie Deunier, conseillère emploi-formation à l’Apecita Auvergne.

Le jobdating au Sommet de l'Elevage

jeudi 23 juin 2016

Les métiers de l’élevage attirent-ils moins ?

En 2010, près de 200 000 exploitations élèvent des bovins en France. Leur nombre a diminué à un rythme soutenu : - 33 % entre 2000 et 2010, contre - 25 % pour l’ensemble des exploitations, avec une diminution des petits élevages et des élevages laitiers.

De plus, le nombre d’exploitations de bovins lait a diminué fortement entre 2000 et 2010 (- 36 %). En 2010, un exploitant sur cinq est âgé de moins de 40 ans, contre plus de un sur quatre en 2000. Un renouvellement insuffisant qui est ressenti aussi en élevage bovin lait et qui joue sur la stabilisation du nombre d’exploitations.

Selon Christophe Perrot, de l’Institut de l’élevage, la diversité du paysage laitier se transforme et les attentes des éleveurs aussi : « Est-ce que nous sommes face à des inadéquations de formations initiales ? La production laitière et les systèmes ont beaucoup changé. Il faut souvent s’associer, ce qui peut être complexe. Le salariat a peu de place dans les exploitations laitières, et surtout, les futurs éleveurs sous-estiment souvent la charge de travail. »
Pour renforcer l’attractivité des métiers de l’élevage, Emmanuel Béguin, de l’Institut de l’élevage, propose de travailler sur trois axes : « Pour créer des vocations dans la filière, il faut à la fois améliorer l’image des métiers en valorisant l’image du métier d’éleveur et de salarié, rendre l’accès au métier plus simple en simplifiant l’installation, et surtout, mieux valoriser les conditions des métiers de l’élevage. Ce sont les trois facteurs à actionner par la filière et les éleveurs pour accroître l’attractivité des métiers de la filière. »

mercredi 22 juin 2016

Jeunes diplômés : comment valoriser une année de césure à l’étranger dans sa candidature ?

Qu’il s’agisse d’un périple touristique, d’une démarche humanitaire ou d’un stage, le séjour à l’étranger peut constituer un plus sur le CV, la lettre de motivation ou l’entretien d’embauche. Mais à condition de bien savoir les valoriser. 

Bien montrer que le projet était mûrement réfléchi et parfaitement construit, faire apparaitre les capacités d’autonomie, d’ouverture d’esprit et d’adaptabilité mises en œuvre, révéler le sens et l’enrichissement d’une activité humanitaire, présenter les acquis en matière de connaissances professionnelles et managériales d’un stage en entreprise à l’étranger permettront au candidat de faire la différence.

http://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-candidature/detail/article/jeunes-diplomes-comment-valoriser-une-annee-de-cesure-a-l-etranger-dans-sa-candidature.html?xtor=EPR-235

mardi 21 juin 2016

Recruteurs : comment entrer en contact avec les candidats passifs ?

Pour certains postes techniques nécessitant un haut niveau d’expertise ou des capacités managériales très spécifiques, il est souvent difficile de trouver des candidatures par les voies classiques. 

Toucher des personnes qui ne sont pas en recherche active mais que de nouveaux challenges pourraient intéresser apparait alors comme la solution. A coté des cabinets de recrutement qui peuvent rendre ce service mais avec plus ou moins de succès, il existe aujourd’hui d’autres solutions faisant intervenir les réseaux sociaux.
Mais quand on sait que les 2/3 des candidats y sont passifs, l’intervention de chasseurs de têtes d’un nouveau type s’impose. Ce sont les plateformes de cooptations récompensant les coopteurs ou les éditeurs de publicité ciblée qui appliquent au recrutement les techniques du web marketing.

http://www.focusrh.com/recrutement/e-recrutement-sites-emploi/recrutement-comment-entrer-en-contact-avec-les-candidats-passifs-28530.html

lundi 20 juin 2016

Près de 2 millions d’embauches en 2016

Les intentions de recrutement des entreprises atteignent leur « plus haut niveau » depuis sept ans, selon l’enquête « Besoins en main-d’œuvre 2016 » de Pôle emploi et du Credoc. Elles représentent 1 827 300 embauches potentielles, soit une hausse de 5,1 % par rapport à l’année précédente. Voilà un indicateur au vert, avec un panel significatif de 436 445 entreprises répondantes, même si l’étude ne porte pas spécifiquement sur les créations de postes. Les projets de recrutement sont suscités dans 61 % des cas par de nouvelles activités ou un surcroît d’activité. Il s’agit pour 39 % des cas de remplacements de salariés, ponctuels ou définitifs.

Les viviers d’emplois se trouvent dans les TPE de moins de 10 salariés (45 % des projets d’embauche), pour des postes souvent peu qualifiés. Dans le top 15 des métiers les plus recherchés, la catégorie des « viticulteurs, arboriculteurs salariés, cueilleurs » se situe au premier rang, devant les « agents d’entretien de locaux », les « professionnels de l’animation socioculturelle », les « serveurs de cafés et de restaurants », les « aides, apprentis, employés polyvalents de cuisine ». Toutefois, le groupe à forte qualification des « ingénieurs, cadres études et R & D informatique, responsables informatique » fait son apparition dans le classement : 61,7 % des projets y sont jugés « difficiles », un score des plus élevés.

La plupart des employeurs anticipent des difficultés, d’abord pour inadéquation des profils recherchés (81,9 % des cas), ou pénurie de candidats (74 %). Mais, en 2015, moins d’un établissement recruteur sur 10 déclare avoir dû abandonner au moins l’un de ses recrutements compte tenu des difficultés rencontrées. Enfin, 36,2 % des employeurs se passent de Pôle emploi et, à 68 %, lui préfèrent les candidatures spontanées. 

Source : Liaisons sociales magazine n°172

samedi 18 juin 2016

Patrick Naulin, responsable métiers du grain, 110 Bourgogne : Des silos et des hommes

Patrick Naulin, 47 ans, est responsable métiers du grain au sein de la coopérative agricole 110 Bourgogne. Il a effectué toute sa carrière professionnelle au sein de la coopérative bourguignonne.

« J’ai débuté chez 110 Bourgogne en 1993 au poste de magasinier sur le silo de Ouanne, situé au sud d’Auxerre, raconte Patrick Naulin, aujourd’hui responsable métiers du grain chez 110 Bourgogne. J’avais fait des études plutôt techniques (BTS productions végétales), et ne connaissais pas ce métier du travail du grain. Je me suis formé sur le tas, et j’y ai pris goût. En tant que magasinier, on effectue les tâches quotidiennes de la vie d’un silo : nettoyage du silo, préparation des lots de grains pour les expéditions, relation avec les adhérents, distribution des engrais et produits de protection des cultures ».

Découvrez son parcours

vendredi 17 juin 2016

Réseaux sociaux : un moyen de décrocher des rendez-vous

Les réseaux sociaux font désormais partie de notre vie privée. Ils intègrent aussi de plus en plus notre sphère professionnelle. Ils sont en effet un moyen de créer des relations.

La finalité des réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn et Viadeo est la même que celle du réseau classique : l’objectif est de créer un échange et idéalement une rencontre avec de potentiels employeurs. « Le but des réseaux sociaux professionnels est de favoriser des échanges avec des personnes qui sont en poste dans l’entreprise ciblée ou qui exercent la fonction recherchée, permettant ainsi d’avoir des informations sur son parcours, l’entreprise, mais également le poste, souligne Charline Laroze, conseillère emploi-formation dans la délégation Nord-Pasde- Calais-Picardie de l’Apecita.
Avoir des informations par un échange avec une personne qui exerce au sein de l’entreprise visée ne peut qu’appuyer une candidature. Cela montre qu’en tant que candidat, nous nous sommes renseignés.

En outre, échanger avec des salariés d’une entreprise permet aussi parfois de lever des postes via le marché caché. » Et le marché caché de l’emploi n’est pas à négliger : il représenterait près de 70 % des offres d’emploi. Il est donc important de se rendre visible pour accéder à ces offres. C’est pour ne pas y échapper que l’Apecita, et tout particulièrement Charline Laroze, propose un atelier collectif sur le thème des réseaux sociaux professionnels. « En une heure, nous essayons d’apprendre aux candidats à développer leur réseau professionnel via ces réseaux sociaux. »

Comment fonctionnent les réseaux sociaux ?

jeudi 16 juin 2016

"Vinifier, mais pas seulement"

L’oenologue a pour principale activité la vinification. D’autres métiers sont également ouverts aux titulaires du diplôme national d’oenologie (DNO)

Comment accède-t-on au diplôme d’oenologue ?
Nicolas Guichard (Union des oenologues de France) : Le DNO est un diplôme national d’oenologue délivré par six centres de formation sur Dijon, Montpellier (deux centres de formation), Reims, Bordeaux et Toulouse. Ceux-ci forment en moyenne 240 oenologues par an. La formation est accessible après l’obtention d’une licence. Le DNO est une formation d’une durée de deux ans, avec 600 heures d’enseignements lors de la première année, et 350 heures assorties d’un stage de quatre mois minimum au cours de la seconde année. Depuis quelques années, en fonction des établissements, il est également accessible en formation continue par apprentissage. Le DNO est un diplôme de niveau bac + 5.

Le métier d'oenologue en détail

Délégation APECITA Pays de la Loire : Le Sival accompagne l’emploi

Pour la première année au Sival, l’APECITA animait son pôle emploi, à la demande des organisateurs.

En plus du job dating, tenu pour la quatrième année sur le Salon des cultures spécialisées, le stand APECITA a été le lieu d’une bourse à l’emploi, d’un espace conseil et de tables rondes et ateliers sur l’emploi.

L'APECITA au Sival 2017 vous accompagne

mercredi 15 juin 2016

Les jardineries recherchent des vendeurs

Si le secteur de la jardinerie recrute moins qu’autrefois, les enseignes sont toujours à la recherche de vendeurs, surtout dans le domaine du végétal. Elles n’hésitent pas à former leurs salariés en interne pour leur apporter les compétences techniques nécessaires. « La première jardinerie a ouvert ses portes en 1968 ; s’ensuivit un âge d’or avec la création successive de nombreux magasins. Aujourd’hui, cette croissance est terminée. Actuellement, moins de cinq seulement ouvrent leurs portes chaque année », explique Christiane Weiller, secrétaire générale de la Fédération nationale des métiers de la jardinerie (FNMJ). Si aujourd’hui, les créations de poste sont plus rares et le turnover globalement bas, les enseignes sont en quête de certains profils.

Les jardineries recrutent...

mardi 14 juin 2016

Etudier à l'étranger : la Hollande, l’autre pays de l’anglais

Étudier à l’étranger vous tente ? Vous aimez l’anglais ? Les Pays-Bas sont peut-être une destination pour vous.

 Tournés vers l’international et le monde anglo-saxon, ils sont aujourd’hui la première nation non anglophone en matière de formations proposées en anglais, alors que près de 90 % de la population étudiante le parlent couramment. Étudier aux Pays-Bas, c’est vivre dans un environnement à la fois multiculturel et unique.

Zoom sur le système universitaire, les établissements et les diplômes…

Les grandes cultures : une filière en constante évolution

Quels sont les principaux métiers qu’offre la filière des grandes cultures ? et à quel niveau de diplômes sont-ils accessibles ?

Emanuelle Bergoënd : La filière des grandes cultures offre de réelles opportunités de carrière, aussi bien dans les exploitations agricoles et chez les producteurs de semences que dans les coopératives, les négoces, ou encore les instituts techniques, les organisations professionnelles agricoles… De la production à la commercialisation, en passant par le conseil ou la recherche et le développement, elle propose de nombreux métiers, accessibles par la voie initiale, l’alternance ou la formation continue, sur des formations diplômantes de niveau CAP à ingénieur-master et des formations qualifiantes.

Découvrez le marché de l'emploi dans le secteur des grandes cultures

lundi 13 juin 2016

Dentiste équin : Combiner patience et technique

Vanessa Breton exerce la profession de dentiste équin. Ce métier a fortement évolué depuis les années 1980.

Il demande des connaissances, de la technique, mais aussi une bonne approche des chevaux.

Découvrez le métier de Dentiste équin

dimanche 12 juin 2016

Gardiennage et protection à cheval en Isère : Le cheval, source d’externalité positive

Philippe Gallin a créé il y a trois ans sa propre brigade équestre de sécurité privée dans le département de l’Isère. Un challenge pour un territoire peu accoutumé à ce type de surveillance. Et un métier à part entière pour l’ancien cadre de santé.

Gardien à cheval

samedi 11 juin 2016

Languedoc-Roussillon : Un Passeport pour valoriser les compétences

Développé par les professionnels de la filière équine en Languedoc-Roussillon, des centres de formation et les partenaires de l’emploi formation, le passeport de compétences professionnelles est un document individuel destiné à valoriser les compétences et faciliter la mise en projet des professionnels de la filière équine.

Le passeport des compétences professionnelles ?

AgroSup Dijon : mastère spécilisé Sciences et management de la filière équine : Former des managers de la filière équineNE

Le mastère spécialisé sciences et management de la filière équine, appelé MESB, a pour objectif de former des managers de la filière équine. Une formation pointue, à la dimension internationale. Agrosup Dijon propose, depuis 2007, le mastère spécialisé sciences et management de la fi lière équine, également appelé MESB (master of equine science and business). Cette formation, destinée à façonner des managers de la filière équine, présente une double originalité.

Mastère spécialisé sciences et management de la filière équine en détail

vendredi 10 juin 2016

Trouver un stage à l’étranger : Embarquez avec Odyssée Agri

« Forts d’une solide expérience sur le terrain, nous sommes capables de trouver des placements de qualité pour effectuer des stages agricoles auprès de partenaires pour qui la notion d’accueil est un impératif », voilà la devise d’Odyssée agri. Cet organisme trouve notamment des stages dans le milieu équin.

Odyssée agri, c'est quoi ?

Des équidés au service de l'environnement

En ville comme à la campagne, les chevaux et les ânes trouvent leur place dans une meilleure prise en compte de l’environnement.

Les équidés ont un rôle à jouer dans le ramassage des déchets, le tourisme et sur les terres en friche.

Ces quelques exemples ne sont bien sûr pas exhaustifs.

jeudi 9 juin 2016

Traction animale Le retour du cheval « énergie »

Le cheval – ou l’âne – reprend peu à peu sa place dans les activités humaines.

Pour le labour en vigne ou en maraîchage, le débardage en forêt, l’entretien des parcs et jardins ou le transport des personnes, l’utilisation des équidés cumule plusieurs avantages.

Zoom sur la traction animale.

Méthanisation du fumier Un développement en panne

Il semblerait que les pouvoirs publics aient abandonné, tout du moins pour le moment, l’idée d’un développement de la méthanisation du fumier et autres déjections animales. 

Sur la trentaine d’entreprises travaillant le sujet et développant des projets ces dernières années, seules quatre ou cinq perdurent aujourd’hui.

Le méthanisation, c'est quoi ?

mercredi 8 juin 2016

La passion du cheval : indispensable mais… insuffisante

Marie-Josée Laconde de l’Apecita et Charlène Lourd, conseillère emploi-formation à équi-ressources, nous apportent leur éclairage sur le marché de l’emploi dans la filière équine. Quels sont les principaux métiers de la filière équine ?

Charlène Lourd (équiressources) : La filière équine a pour particularité de se diviser en plusieurs secteurs d’activité. Le sport-loisir et les courses hippiques sont les principaux employeurs de la filière, même si on compte également des emplois dans le secteur de la traction animale, de la viande et de la médiation-insertion. Au sein de ces secteurs, les métiers demandés peuvent être spécifiques – moniteur d’équitation, cavalier-soigneur, guide équestre, lad-driver, cavalier d’entraînement – ou transversaux – palefrenier-soigneur, maréchal-ferrant...

Découvrez le marché de l'emploi dans la filière équine

vendredi 3 juin 2016

3, 4 et 5 juin, Tilloy-lès-Mofflaines : Le salon de l’agriculture des Hauts-de-France

La 12e édition de Terres en fête se déroulera les 3, 4 et 5 juin à Tilloylès-Mofflaines, près d’Arras. Cet événement s’inscrit comme le Salon de l’agriculture de la nouvelle région Hauts-de-France.

Il s’adresse aux professionnels, mais également à toutes les personnes désireuses d’échanger, de s’informer ou de se divertir autour du monde agricole. C’est une vitrine à la fois pour les entreprises exposantes car elles mettent en avant leurs produits, pour l’agriculture de la région avec son terroir et ses savoir-faire, et enfin pour les producteurs.

Découvrez Terres en fête du 3 au 5 juin 2016